Les « états généraux de l’économie sociale et solidaire », qui ont attiré 3 000 personnes, témoignent d’un engouement pour ce secteur…
Il est vrai qu’aujourd’hui l’économie sociale et solidaire (ESS) a le vent en poupe. C’est notamment un effet de la crise financière de 2008 : durant cette période, le secteur de l’ESS a peu souffert et a même créé des emplois. On a découvert qu’une économie humaniste était possible. En 2010, le rapport « Vercamer », commandé par le Premier ministre, formulait 50 propositions visant à la reconnaissance des acteurs de l’ESS (2). Tous les partis politiques y font désormais référence.
Les entreprises lucratives s’en réclament elles aussi, mais c’est pour améliorer leur image et sans respecter les valeurs de ce s
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