De réédition en réédition, votre ouvrage sur le droit des usagers débouche sur une représentation très militante de l’institution. Vous interpellez notamment les professionnels sur leur rapport aux usagers.
Yves Matho. C’est un fait qu’entre la première édition, en 1999, et cette quatrième version, la tonalité est devenue de plus en plus politique. En 1999, le droit des usagers se présentait comme un droit épars, et nous faisions le pari qu’une modification des relations entre professionnels et usagers devait se réaliser dans une démarche de type politique et non pas instrumentale
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