Contrairement aux entreprises, les établissements et services d’aide par le travail (ESAT) n’ont pas pour priorité l’activité économique mais se consacrent à l’accueil de travailleurs handicapés auxquels ils sont chargés de fournir un travail adapté à leur capacité. Les impératifs économiques se font toutefois de plus en plus criants, exacerbant les tensions entre leur mission médico-sociale et les considérations commerciales – avec le risque de faire passer au second plan l’accompagnement de leur public. Ce dispositif « original et spécifique » est aussi « fragile », a rappelé Marie-Anne Montchamp, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Cohésion
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