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Pour un véritable service public de la protection des majeurs

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Aucune personne vulnérable ayant besoin d’une protection judiciaire ne devrait avoir à participer au financement de sa mesure, estime Michel Marronnier, consultant formateur dans ce domaine et ancien président de la Fédération nationale des associations tutélaires.

« Nous sommes actuellement dans un contexte social et économique tendu. Le désengagement financier de l’Etat est inquiétant, avec pour corollaire une baisse importante des moyens dans des secteurs aussi différents que la protection judiciaire de la jeunesse et les services de maintien à domicile. La réforme de la loi du 27 juin 1990 relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux va se réaliser dans des conditions aussi drastiques. De même, nous pouvons constater de la part de la puissance publique une absence d’anticipation dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes. Il faut également se préoccuper, dès aujourd’hui, de l’avenir des personnes handicapées vieillissantes, au risque d’être contraints rapidement d’inventer un “amendement Creton” (1) pour les plus de 60 ans.

C’est dans c

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