Vous avez enquêté dans quatre pays différents (Maroc, Algérie, France et Espagne). Quel était votre objectif ?
Je souhaitais continuer le travail commencé avec l’ouvrage Femmes invisibles, qui portait sur la violence conjugale et familiale subie en France par des femmes étrangères ou issues de l’immigration. Il s’agissait de poursuivre ma réflexion sur la question de la reconnaissance du tort et de la responsabilité dans les situations de violence. La particularité est que cette enquête concernait exclusivement des femmes venant d’Afrique subsaharienne et voyageant clandestinement à travers les pays du Maghreb pour aller vers l’Europe. Je voulais mieux appréhender les violences qu’elles a
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