Le torchon brûle entre les fédérations (CNAPE, FN3S [1], Citoyens et justice, Uniopss) et la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ). Alors qu’elles participent depuis longtemps aux côtés de cette dernière à la mise en œuvre des dispositifs destinés aux mineurs, les associations estiment que ce partenariat est remis en cause par « les choix inquiétants » et les méthodes de l’administration centrale. Elles estiment subir « une offensive incompréhensible » de la DPJJ sous prétexte de rationalisation et d’économies budgétaires et « au détriment manifeste de la qualité des réponses apportées aux jeunes et à leurs familles ».
Premier motif de leur colère, la mise en œuvre de la mesure judiciaire d’investigation éducative (MJIE
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