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Les discussions des syndicats avec l’Etat au point mort

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La quinzaine d’organisations syndicales reçue le 25 février place Vendôme a claqué la porte de la réunion avec le directeur de cabinet du garde des Sceaux. Après la conclusion des enquêtes administratives sur le suivi du meurtrier présumé de Laëtitia Perrais en Loire-Atlantique et la sanction prise à l’encontre du directeur interregional des services pénitentiaires de Rennes (1), cette rencontre devait amorcer une réflexion sur l’organisation des services pénitentiaires d’insertion et de probation, l’évaluation de l’activité et des moyens des services de l’application des peines et les modalités du suivi des personnes condamnées. Le 14 février, le garde des Sceaux avait en effet annoncé des groupes de travail sur ces thèmes. Mais les syndicats, qui exigent comme préalable des « réponses sérieuses en termes de moyens humains et financiers », ont refusé de « participer à une concertation qui n’en a que le nom ». Ils souhaitent en outre que les discussions soient plus larges et que l’ensemble des organisations représentant les professionnels de la justice y participent.

Après ce boycott, le ministère, qui a déclaré rester « o

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