Prolonger les « assises nationales de la protection de l’enfance » organisées les 28 et 29 juin dernier (1) en traduisant « les inquiétudes et les appels des professionnels pour nourrir le débat et alerter les pouvoirs publics ». C’est, selon Jean-Louis Sanchez, délégué général de l’Observatoire national de l’action sociale décentralisée (ODAS), organisateur de ces assises avec le Journal de l’action sociale et le conseil général des Bouches-du-Rhône, l’objectif du manifeste rendu public le 18 janvier avec l’Association nationale des assistants de service social (ANAS) et l’Organisation nationale des éducateurs spécialisés (ONES). A l’issue de la manifestation de Marseille, les organisateurs se sont attachés à extraire « la substance » des attentes des acteurs dans un texte qui a ensuite été soumis aux associations de professionnels, aux organisations partenaires des assises et à un panel de 500 participants. Malgré les récentes évolutions législatives et les six milliards d’euros dépensés par les départements (en 2009) selon l’ODAS, « la protection de l’enfance semble être aujourd’hui un enjeu de second plan po
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