Il faut préciser la place de l’hospitalisation à domicile (HAD) par rapport à l’ensemble de ses partenaires dans le parcours de soins, a indiqué le ministre de la Santé le 9 décembre lors de la 14e journée nationale de l’HAD. Destinataire d’un rapport de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) sur cette question (1) – qu’il a promis d’étudier dans le détail –, Xavier Bertrand a d’ores et déjà retenu trois principaux axes de travail. Il a également rappelé que « l’HAD est désormais un label reconnu ». La loi « hôpital, patients, santé et territoires » du 21 juillet 2009 lui a en effet donné une définition juridique et a garanti son appellation (2).
Le premier axe d’actions retenu par le ministre consiste à délimiter le champ d’intervention de l’HAD dans l’offre de soins actuelle. Par exemple, dans le domaine de la périnatalité, il s’agit de le définir plus clairement par rapport à celui des professionnels libéraux. S’agissant des soins palliatifs, une réflexion sera menée sur « la meilleure façon de répondre au souhait des patients de mourir à domicile �
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