Au-delà de l’ordonnance de protection (1), la loi du 9 juillet 2010 met en place deux dispositifs d’ordre pénal pour protéger les victimes de violences exercées au sein du couple. En premier lieu, elle autorise la rétention d’une personne qui viole certaines obligations de son contrôle judiciaire, et notamment celle lui interdisant de s’approcher de sa victime. Les conditions du placement sous surveillance électronique mobile d’un conjoint, concubin ou partenaire pacsé violent (2) sont en outre assouplies par rapport au droit commun pour permettre une meilleure surveillance de ce dernier.
D’autres dispositions concernent par ailleurs la protection des enfants, souvent
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