« Je n’ai pas envie de jeter mon fils en pâture à des sauvages. » Ces mots que j’ai entendus, aux infos de 13 heures le 12 novembre, de la bouche d’un père interviewé devant le collège de Craon m’ont fait froid dans le dos ! Nous avons bien deux France, une qui se donne bonne conscience en croyant protéger ses enfants, et l’autre constituée de “racailles”, de délinquants venant de la banlieue : ces exclus du système scolaire, à qui l’Etat, pour se déculpabiliser, tente de donner une “deuxième” chance !
Autant je pense que le projet des établissements de réi
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