Sorties de l’ombre grâce à l’opiniâtreté d’organisations féministes, les violences conjugales sont ici l’objet d’un faisceau de contributions de chercheur(e)s en sciences humaines, de juristes et de professionnel(le)s de la relation d’aide. Coordonnées par Ginette Francequin, maître de conférences en psychologie clinique et sociale, ces différentes approches aident à penser l’émergence des phénomènes de violence, la façon de tenter de les prévenir ou, du moins, d’endiguer leur réitération, et comment aider les femmes et les enfants qui en sont victimes à se reconstruire. Pour sortir de l’emprise exercée par les auteurs de violences, les femmes ont à la fois besoin d’un soutien individuel de type ISAP (intervention sociale d’aide à la personne) et d’espaces-temps collectifs de type ISIC (intervention sociale d’intérêt collectif), estime Nicole Blaise, directrice du Relais de Sénart (Seine-et-Marne), un centre d’héberge
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