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Les ERS : un dispositif jugé encore flou

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Destinés aux élèves « perturbateurs », les établissements de réinsertion scolaire suscitent des interrogations, notamment sur la possibilité d’y recourir dans un cadre contraint.

La nouveauté fait naître d’autant plus de réserves qu’elle a pris corps lors d’un discours du chef de l’Etat sur la sécurité, le 20 avril dernier. Désormais, des « établissements de réinsertion scolaire » (ERS) peuvent accueillir, pour une durée d’au moins un an, une trentaine d’élèves de 13 à 16 ans « perturbateurs », ayant fait l’objet de multiples exclusions. Leur objectif : proposer une scolarisation aménagée afin de réinsérer ces jeunes dans un parcours de formation générale, technologique ou professionnelle et de favoriser « l’appropriation des règles du vivre ensemble ». L’équipe, composée d’enseignants et d’assistants d’éducation, peut être complétée par des personnels de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), des volontaires du service civique ou encore des éducateurs du conseil général et des intervenants associatifs.

« Une mise à l’écart »

S’il ne se dit pas opposé au princ

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