Comment vous êtes-vous intéressé au harcèlement à l’école ?
Dans les années 2000, nous avons fait avec plusieurs chefs d’établissement le constat que la violence à l’école n’est pas faite que de coups et blessures, ni même de racket, mais qu’elle comporte aussi toute une violence cachée faite de petites choses auxquelles on ne prend pas garde. Lorsque l’on interroge les élèves, c’est surtout ce type de violence qu’ils évoquent.
C’est ce que vous appelez le « school bullying »?
Le mot bullying vient de l’anglais. Il s’agit des coups répétés que les veaux donnent à leurs congénères. Le mot français « harcèlement » traduit bien cette idée de répétition, de durée et, au
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