Pourquoi cette recherche-action ?
Les activités que nous menions sur le quartier de Planoise nous avaient permis de constater un certain rejet des habitants à l’égard des personnes venues d’Europe centrale, des Roms pour la plupart. Nous avons voulu en savoir plus sur la façon dont ces populations s’impliquaient dans le pays d’accueil à travers une recherche-action de deux ans (2007-2009) menée en France, mais aussi en Hongrie et en Allemagne (2). A Besançon, le projet a pris la forme d’un « diagnostic partagé » où les partenaires, réunis au sein d’un comité de pilotage (3), ont été partie prenante. Six personnes des CEMEA ont interrogé 21 familles rom, les travailleurs sociaux du quartier et des enseignants sur leurs relations et leurs représentations mutuelles (4).
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