« Aujourd’hui, dans le travail social en France, le formateur est amené à adapter sa posture évaluative à deux visées : d’une part la certification, fondée, depuis la mise en place de la validation des acquis de l’expérience, sur des domaines de compétences répertoriés, et d’autre part la professionnalisation des étudiants, qui se décline en termes de processus singuliers, via les projets individualisés de formation. L’écart est grand entre les textes des réformes, leurs orientations, leurs prescriptions, et ce qui s’expérimente ensuite sur le terrain, au jour le jour, par les professionnels. Le taux d’échec aux diplômes d’Etat « nouvelle version » attise les inquiétudes, suscite les remises en question, incite au débat.
Cet écart est, selon m
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