« C'est un dispositif qui a trouvé sa place sur le territoire », constate Frédéric Bourthoumieu, président de l'ANARE (Association nationale des acteurs de la réussite éducative) (1). « Il produit du sens et permet de renforcer la transversalité avec des partenariats forts au bénéfice des enfants en difficulté », déclare Muriel Noirot-Bellot, ancienne chargée de mission au sein du centre de ressources sur la politique de la ville RésOVilles, à Nantes. « Il s'est imposé dans le paysage », poursuit Nourredine Boubaker, directeur régional adjoint de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS) du Languedoc-Roussillon, chargé des relations avec l'ACSé (Agence nationale pour la cohési
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