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Prendre soin de la santé mentale en CEF, une piste prometteuse

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Depuis 2008, des centres éducatifs fermés bénéficient à titre expérimental de moyens pour étoffer le volet santé de leur prise en charge. Le renforcement des équipes, mais aussi la consolidation des ponts avec la psychiatrie accroissent la dimension contenante de ces structures. Et donnent aux mineurs délinquants présentant des troubles psychologiques, voire des pathologies lourdes, de meilleures perspectives d’avenir.

Ils ont 13, 15, 17 ans…, une histoire familiale décousue, des carences éducatives, des parcours pavés d’abandons, de rejets, de mauvais traitements, voire d’abus sexuels. En grande souffrance, ils ont dévié peu à peu vers la délinquance, répétant vols ou violences. Aujourd’hui, ils se retrouvent placés par un juge dans des centres éducatifs fermés (CEF), au titre d’un contrôle judiciaire, d’un sursis avec mise à l’épreuve, d’un placement extérieur ou d’une libération conditionnelle. Dans ces lieux privatifs de liberté dépendant de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et qui ont suscité de vives po­lémiques à leurs débuts (1), les mineurs reçoivent un suivi intensif et global

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