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Dichotomie radicale

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Dans « Puissants et Miséreux », Yann Reuzeau met en regard deux mondes qui jamais ne se mélangent : les plus pauvres et les plus riches.

« Un monde. Deux extrêmes. » Le sous-titre de la pièce écrite par Yann Reuzeau tape dans le mille : ce diptyque évoque, d'une part, des sans-abri tentant de survivre dans un sous-sol exigu et, d'autre part, un grand patron s'affrontant avec son successeur sur la stratégie à adopter pour assurer l'avenir de son groupe. Soit deux mondes radicalement opposés, jamais amenés à se rencontrer. Pendant la première heure, les « Miséreux » - Bariton, Hector, Dylan et Mélanie, interprétés par des comédiens plus vrais que nature - se soûlent, vocifèrent, se séparent pour mieux se retrouver. Certains tentent encore de se sortir de la rue, même si les moyens sont immoraux. D'autres, trop abîmés, n'y croient plus. A l'issue de la première intrigue, Bariton, clochard résigné, devient Daniel, vorace prédateur à la tête d'une entreprise énergétique, héros des « Puissants ». Le comédien Jean-Luc Debattice constitue le seul lien entre ces deux histoires qui ne se croisent pas, l'existence

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CULTURE

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