Plus de deux mois après la table ronde organisée par la direction générale de l'action sociale (devenue direction générale de la cohésion sociale) (1), les difficultés soulevées par la gratification des étudiants en travail social demeurent. « Nous avons pris acte qu'aucune avancée significative n'a été donnée à ce dossier. Sur le terrain, la situation des stagiaires s'est fortement dégradée en raison de l'extension des gratifications aux stages de deux mois et plus [contre trois mois auparavant] », constatent, dans un communiqué commun, les associations professionnelles (ANAS, ONES, FNEJE, France ESF) (2), auxquelles s'est joint le Collectif national d'étudiants en travail social (CNETS).
A l'appui de ce qu'elles avancent, les organisations font valoir les résultats de l'enquête qu'
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