Les opposants à l'approche libérale adoptée par le gouvernement pour transposer la directive « services » - qui vise à lever les obstacles à la libre circulation des services dans l'Union européenne - ne désarment pas. Après le rejet par l'Assemblée nationale de sa proposition de loi visant à faire échec à une démarche jugée restrictive et peu démocratique (1), le groupe socialiste a redéposé le texte au Sénat, qui devrait l'examiner le 25 mars. L'une des options du gouvernement les plus contestées concerne le maintien, dans le champ de la directive, des services à la personne régis par l'agrément et des services et établissements d'accueil collectif de la petite enfance. Elle a d'ailleurs aussitôt entraîné une levée de boucliers tant chez les élus socialistes qu'au sein de l'Association des ma
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?