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« LA RÉVOLUTION ORGANISATIONNELLE RESTE À MENER »

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Les réformes qui se succèdent ont profondément bousculé les politiques sanitaires et sociales. Néanmoins, cette « révolution douce » n'a pratiquement pas eu de répercussions structurelles. Elle a, à l'inverse, entraîné une perte de sens chez les intervenants. D'où la nécessité d'accompagner la réorganisation du dispositif social et médico-social, défend Jean-Yves Barreyre, directeur du Cédias-Musée social (1).

Vous parlez de « révolution douce », pourquoi ?

« Révolution » parce qu'en dix ans, les différentes réformes ont, sinon renversé les piliers, au moins bouleversé les principes de la politique sanitaire et sociale. « Douce », parce que cette transformation s'est faite essentiellement par la loi avec une production de textes largement supérieure à celle de la dernière moitié du XXe siècle. Ce qui ne veut pas dire que la société civile n'y a pas participé. Que ce soit pour la loi 2002-2, celles sur le handicap du 11 février 2005 ou sur la protection de l'enfance de mars 2007, la loi « hôpital, patients, santé et territoires », les fédérations et leurs ass

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