Depuis le 26 novembre, le lendemain de la publication de la loi sur l'orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie, tout stage d'une durée minimale de deux mois - et non plus de trois mois - effectué dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux de droit privé doit être gratifié. La mesure ne s'applique en principe qu'aux stages dont la convention est signée postérieurement à la publication de la loi. La disposition est donc entrée en vigueur sans que l'Aforts (Association française des organismes de formation et de recherche en travail social) et le GNI (Groupement national des instituts du travail social), malgré leurs interpellations du cabinet de Xavier Darcos et une lettre adressée au président de la République (1), aient pu obtenir de garanties sérieuses sur son financement. Ce qui risqu
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