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Le collectif « Non à Edvige » dénonce les nouvelles bases de données policières

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Un an après le retrait du fichier Edvige, qui avait mobilisé contre lui plusieurs dizaines de syndicats, d'associations et de partis de gauche regroupés au sein du collectif « Non à Edvige », la polémique enfle à nouveau avec la publication de deux décrets créant de nouvelles « bases de données » policières (voir ce numéro, page 19). L'une sur la « prévention des atteintes à la sécurité publique » vise les personnes susceptibles d'être impliquées dans des actions de violence collectives tandis que l'autre relative « aux enquêtes administratives liées à la sécurité publique » concerne les postulants à un emploi dans la police, la gendarmerie ou dans un secteur sensible (aéroports, centrales nucléaires...). A première vue, le gouvernement semble avoir tenu compte de la mobilisation précédente en renonçant au mélange des finalités par la publication de deux textes différents, en abandonnant le fichage des questions de santé ou relatives à la vie sexuelle et en fixant une durée de conservation de données.

Reste que de nombreuses dispositions qui avaient fait réagir les associations perdurent, entraînant la réactivation du Collectif « Non

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