Adapter les recommandations de bonnes pratiques professionnelles d'évaluation élaborées par l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux au champ de la réduction des risques pour les usagers de drogues. Tel est l'objet d'un guide réalisé au sein de la commission nationale « addictions » et édité par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (1). Outil d'aide à la construction du questionnement évaluatif, à l'élaboration ou à l'utilisation d'un référentiel d'évaluation existant, le guide a une vocation pédagogique et n'est pas figé. En effet, « les évaluateurs sont vivement invités à le décliner pour l'adapter au mieux à leur situation particulière ».
Le processus d'évaluation se décompose en quatre étapes. La première consiste à sélectionner les questions évaluatives, regroupées en cinq catégories correspondant chacune à un critère d'appréciation spécifique : pertinence, cohérence, impact, efficacité, efficience. Il est recommandé à l'évaluateur de se concentrer sur les aspects visibles les plus critiques tels que l'émergence éventuelle de nouveaux bes
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