Dans l'attente du calendrier fixé par la nouvelle ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, les consultations se poursuivent sur l'avant-projet de code de la justice pénale des mineurs, daté du 30 mars dernier. Après de premières réactions véhémentes (1), dont celle de l'Association française des magistrats de la jeunesse et de la famille (AFMJF), les quatre grandes organisations intervenant dans le champ de l'enfance et de la jeunesse - Citoyens et justice, la FN3S, l'Unasea et l'Uniopss - ont adressé leurs observations et demandes d'amendements à la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) et à la direction des affaires criminelles et des grâces à la fin du mois de juin.
Les fédérations associatives désapprouvent clairement plusieurs dispositions qui fondent la
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