«Comme tant d'autres avant lui, l'actuel gouvernement souhaite imprimer sa marque sur l'institution de l'adoption. Cette agitation législative récurrente laisse toujours perplexe. S'agit-il de l'expression d'un sentiment accru de responsabilité à l'égard d'enfants (de moins en moins nombreux) devenus pupilles de l'Etat après avoir été confiés aux services de l'aide sociale à l'enfance (ASE) des conseils généraux ? S'agit-il d'un malaise à l'égard des personnes ou des couples (de plus en plus nombreux) agréés par les mêmes services pour pouvoir postuler à l'adoption, et dont l'effec
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