Pourquoi avez-vous mené cette vaste enquête sur la souffrance psychique à travers la France ?
Il s'agissait de la suite logique de l'enquête que j'avais réalisée sur la folie. Quand on s'intéresse à la maladie mentale, on s'aperçoit très vite que les patients des psychiatres sont majoritairement, et de plus en plus, des personnes dépressives, angoissées, souffrant de ce que l'on appelle la « souffrance psychique » ou « psychosociale ». D'où l'idée d'enquêter sur ce sujet.
Vous faites un lien direct entre cette souffrance psychique et le travail. Pour quelle raison ?
En commençant cette enquête, je me posais deux questions préalables : cette souffrance psychique est-elle massive ? et quelle en est
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