« [...] On apprend dans cet entretien, que j'ai trouvé choquant, que le ghetto dont il est question dans le titre ne serait finalement que l'oeuvre de ceux qui le subissent. C'est sans doute pour cela que ce ghetto serait aussi «cocon». [...] Qu'il est curieux de porter à la charge des victimes les stéréotypes qu'ils subissent déjà et que l'on renforce en leur apportant une caution «scientifique».
« Il manque à Didier Lapeyronnie ce que l'accompagnement éducatif, la présence sociale, la connaissance fine des conditions de vie peuvent apporter. Les habitants des quartiers ne se replient pas sur eux, ils sont relégués.
« Ces dix dernières années, nous avons assisté à l'accélération d'un mouvement d'é
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?