Vous voilà chargé de défendre les intérêts des écoles de travail social. Un changement de posture ?
De fait, en répondant à la sollicitation des présidents de l'Aforts et du GNI, je me retrouve de l'autre côté de la barrière. Mais c'est moins une rupture qu'une continuité. J'avais, en effet, avec les représentants des centres de formation des relations de travail étroites et confiantes et le travail d'accompagnement que nous avions mis en place m'a toujours semblé très positif. Je n'ai donc pas le sentiment de travailler à front renversé, parce qu'il n'y avait pas de front, tout juste quelques frictions. Mais sur ce pla
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