Recevoir la newsletter

Aider les jeunes filles à pouvoir dire « non »

Article réservé aux abonnés

Certes, il n'y a ni politique véritablement concertée, ni moyens à la hauteur des besoins. Cependant, l'ignorance comme le déni ne sont aujourd'hui plus de mise : ici et là, les initiatives se multiplient pour soutenir efficacement celles qui veulent se soustraire à une union forcée.

A l'instar de plusieurs enceintes internationales qui l'avaient déjà très nettement affirmé, le Conseil de l'Europe le rappelle sans ambiguïté : « L'union de deux personnes dont l'une au moins n'a pas donné son libre et plein consentement au mariage » est une « atteinte aux droits fondamentaux de la personne humaine », qui ne peut « en aucune façon » être justifiée (1).

En désignant ainsi le caractère inadmissible de la contrainte qui se trouve au fondement des mariages forcés, de telles prises de position sont essentielles pour inciter les pays à appréhender la problématique des jeunes filles (2) confrontées à une union « arrangée » pour elles par leurs parents (3). Car il ne s'agit pas d'en rester au stade de la dénonciation : pour être utile, celle-ci doit être assortie de « programmes de formation de l'ensemble des acteurs

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

DÉCRYPTAGE

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15