La crise économique et ses conséquences partout à la une des médias : suppression de toute capacité d'investissement dans les secteurs « non économiquement prioritaires », menaces de récession, perspectives de précarisation de pans entiers de la population, affaiblissement des territoires les moins industrialisés... En quelques mois, les doutes des acteurs sociaux se sont cristallisés. A l'incertitude sur les ressources consacrées à une action sociale qui sera aux avant-postes d'un prévisible « tsunami social » (1), se superposent des questions déjà en germe avec la révision générale des politiques publiques (RGPP) ou la création des agences régionales de santé (ARS) : comment vont évoluer les relations entre l'Etat, les coll
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