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« Il n'y a pas de fatalité »

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Sommer les institutions sociales et médico-sociales de s'adapter à la raréfaction des ressources revient à exonérer les pouvoirs publics de leur responsabilité et à occulter la nécessité d'un projet de société. C'est en substance ce que Pierre Savignat, maître de conférences associé en économie et stratégies d'entreprises à l'université Pierre-Mendès-France-Grenoble 2 et membre du conseil scientifique de l'ANESM (1), répond à une récente tribune libre de Jean-René Loubat (2).

« Jean-René Loubat invitait récemment dans ces colonnes le secteur social et médico-social à faire montre de créativité et à mettre en place des dispositifs plus souples et plus adaptables afin de faire face à la raréfaction des ressources. L'auteur estime que ce secteur, après avoir été relativement épargné, se trouve confronté de plus aux effets de la «nouvelle donne économique et internationale» qui représentent un «imparable phénomène de civilisation».

Le problème est réel. Les propositions formulées ne sont pas inintéressantes a priori. Mais l'analyse qui sous-

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TRIBUNE LIBRE

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