On pourrait se croire dans un lotissement tant les deux pavillons, reliés par une allée d'une trentaine de mètres, se ressemblent. Même construction en rez-de-chaussée. Même haut toit d'ardoise percé de fenêtres en lucarnes, si répandu dans le Cantal. « La configuration intérieure est pensée pour la prise en charge de la dépendance, explique Josiane Barthomeuf, occupante d'un des deux pavillons. En bas, les trois chambres des pensionnaires âgés, la cuisine et la salle commune où se prennent les repas. En haut la partie réservée à la famille. » A 52 ans, cette auxiliaire de vie en a eu assez des remplacements dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) des alentours et, comme plusieurs familles du département, elle a signé un contrat de location très particul
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