« Depuis quelques mois, la mise en oeuvre de l'évaluation interne et la possible participation des usagers à ce processus agite le microcosme du secteur du travail social.
La plupart des publications attribuent à l'évaluation interne des qualités essentielles, que l'on peut qualifier de «consubstantielles» : elle doit entraîner un renouveau dans le secteur du social en actes, voire, pour les plus optimistes, une «démocratisation» permettant que les organisations et les décisions soient mieux partagées, expliquées, comprises et fondées sur le consensus. La participation de l'usager (ou de son représentant) est l'enjeu central de ce processus démocratisant.
Or celui-ci semble quelque peu dans l'impasse car, paradoxalement, la démocratisation souhaitée par les professionnels semble s'accompag
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