Publié le : Dernière Mise à jour : 15.05.2025Par : Propos recueillis par Isabelle SarazinLecture : 3 min.
Les premières « assises nationales des formations sociales », organisées par le Journal de l'action sociale en collaboration avec les ASH(1)vont s'ouvrir le 13 mai. L'occasion pour les régions, devenues des interlocuteurs incontournables, de se faire entendre sur les formations sociales, y compris sur le problème actuel de la gratification. Entretien avec Monique Iborra, vice-présidente (PS) de la région Midi-Pyrénées et présidente de la commission des formations sanitaires et sociales à l'Association des régions de France.
Que pensez-vous des éclaircissements de la DGAS et du gouvernement sur la gratification (2) ?
Nous ne pouvons pas être satisfaits. Pour les établissements sous tarification de l'Etat, la DGAS dit aux DRASS de se débrouiller, mais sans apporter à ce stade de financement supplémentaire. Et Xavier Bertrand demande aux conseils généraux de faire de même pour les établissements qu'ils tarifient. Cela ne répond que partiellement à la question du financement, sans compter que tout un pan du champ associatif, et notamment les établissements d'accueil pour jeunes enfa
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