L'idée de la coopération dans le champ social et médico-social n'est pas nouvelle. La loi du 30 juin 1975, en son temps, avait déjà incité les institutions à se coordonner à travers la création de groupements et la conclusion de conventions. Mais la coopération s'était peu traduite dans les faits. Pas plus, les autres formules de coopération, telles que le groupement d'intérêt économique (GIE), le groupement d'intérêt public (GIP), ou encore le groupement d'employeurs, n'ont connu par la suite un franc succès dans le secteur social et médico-social. Chacune d'entre elles comporte son lot de contraintes ou de limites qui ne les rendent envisageables que pour des cas très ponctuels : le GIE permet seulement de mener une activité auxi
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