« La question des conditions d'emploi sera, bien entendu, l'une des clés de voûte de la réussite de la réforme » des agences régionales de santé (ARS) qui doivent se substituer aux actuelles agences régionales de l'hospitalisation en 2009, a indiqué Roselyne Bachelot le 7 mars lors de la conférence des directions régionales et départementales des affaires sanitaires et sociales (DRASS et DDASS). Favorable à un périmètre des ARS incluant la partie sanitaire du médico-social (1), la ministre de la Santé entend de la sorte rassurer les personnels des actuelles DRASS et DDASS, appelées à disparaître.
Ainsi, pour la grande majorité des agents, la continuité des fonctions sera la règle. Ceux qui intégreront les ARS devraient conserver leur statut de personnel d'Etat et continuer d'appartenir à leurs corps actuels. Représentant en moyenne 40 personnes par région (en excluant les fonctions spécifiques relatives à la protection sociale et aux juridictions sociales), les agents dont les missions se seront pas transférées aux ARS ont vocation à poursuivre leur carrière au sein de services régionaux et départementaux chargés de la cohésion sociale, « dan
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