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Une centaine d'organisations sensibilisent les sénateurs contre la « rétention de sûreté »

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« Ce n'est plus tellement une question politique, mais une contestation du projet de société que l'on nous propose. Pour la première fois, on veut enfermer des personnes non pas pour leurs actes mais pour ce qu'elles sont et ce qu'elles pourraient faire. » C'est ainsi qu'Emmanuelle Perreux, présidente du Syndicat de la magistrature (SM), résume ce qui a incité avant tout une centaine d'organisations, et plus de 10 000 personnes, à signer l'appel contre le projet de loi relatif à la rétention de sûreté et à l'irresponsabilité pénale, lancé le 7 janvier (1) par le SM, le Snepap (Syndicat national de l'ensemble des personnels de l'administration pénitentiaire)-FSU et le Genepi (Groupement étudiant national d'enseignement aux personnes incarcérés) (2). Adopté le 9 janvier à l'Assemblée nationale, le texte, sur lequel l'urgence a été déclarée, poursuivait son examen au Sénat le 30 janvier. L'occasion, pour tous les signataires de l'appel, de redonner de la voix pour sensibiliser les parlementaires. D'autant que le délai est court, le texte pouvant, en cas d'accord entre les deux chambres, être définitivement adopté le 6 février.

Les amendements apport

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