« Au niveau des équipes de terrain, de réelles disparités existent par rapport aux actions sociales d'intérêt collectif. Certains professionnels continuent d'être très frileux. Quant à ceux qui veulent conduire des projets sur un territoire, il leur est difficile de dégager du temps pour cela, tant les priorités que les directions assignent aux services peuvent se révéler différentes », observe Christine Pont, assistante sociale et membre du « labo ISIC », un espace de recherche créé au sein de l'Institut régional du travail social (IRTS) de Montpellier (1) pour valoriser les pratiques de l'intervention sociale d'intérêt collectif (ISIC).
De fait, regroupant sous la même appellation le travail social auprès des groupes d'usagers, le travail soc
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