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« Pour une prise en charge adaptée des victimes de torture »

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Pour la première fois, les centres de soins français pour victimes de torture devaient se réunir, le 13 septembre, et réfléchir à la création d'un réseau national. L'idée est de gagner la reconnaissance des institutions et de rapprocher les pratiques, explique Hélène de Rengervé, directrice administrative et financière de Parcours d'exil (1), à l'initiative de la rencontre.
Pourquoi ce projet de réseau ?

Même s'il avait déjà été évoqué, ce projet a été renforcé par la disparition annoncée, à l'horizon 2010, des financements européens des centres de soins pour victimes de torture. Nous sommes d'autant plus inquiets que le soutien des Nations unies, également déterminant pour leur fonctionnement, pourrait aussi être remis en cause, l'ONU estimant que les pays riches peuvent assumer cette charge. Malgré le lobbying des associations, nous n'avons obtenu qu'un faible engagement au niveau européen sur la pérennité des structures, sans aucune garantie de financement. Nous voulons donc poursuivre notre action pour réclamer le maintien des financements européens, mais aussi le développement de

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