Pour les distinguer des conseillers techniques de la mission locale, Anne-Laure Mohier les appelle des « conseillers sociaux ». C'est vers l'un de ces bénévoles que cette jeune femme a été orientée lorsqu'elle est arrivée à Toulouse, seule, sans logement, après plusieurs tentatives de formation avortées et engluée dans d'importantes difficultés financières. André Hanus, ancien commercial à la retraite, l'a aidée à trouver un toit et un travail d'appoint pour lui permettre de démarrer par la suite une formation de céramiste. « Aujourd'hui, même si je suis sortie de mes grosses difficultés, on s'appelle régulièrement », raconte la jeune fille.
Le parrainage a pris peu à peu une place croissante au sein des six antennes de la mission locale de Toulouse(1). Un développement qui s'incrit dans la volonté de l'Etat, dep
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