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Condition pénitentiaire : les candidats à la présidentielle s'engagent

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Deux mois après avoir interpellé les candidats à la présidence de la République sur la nécessité d'une réforme carcérale, dont les bases sont inscrites dans leur déclaration finale (1), les états généraux de la condition pénitentiaire (2) ont rendu publiques, le 16 janvier, les réponses obtenues.

Sur dix représentants politiques sollicités, huit (3) ont accepté le principe d'une réforme en répondant point par point aux demandes des états généraux. Parmi eux, Nicolas Sarkozy n'a toutefois pas souhaité s'engager sur la déclaration finale, tout en avançant des propositions en matière de respect des droits de l'Homme et de contrôle indépendant. Jean-Marie Le Pen a rejeté les principes d'une réforme tandis que Philippe de Villiers n'a pas répondu.

Les organisateurs se félicitent de ce consensus politique, « qui témoigne d'une volonté claire de rupture avec le fonctionnement actuel de nos prisons », tout en soulignant ses limites : « tout le monde est d'accord sur la transformation de la condition carcérale, mais il y a des clivages sur la question de la politique pénale », souligne Robert Badinter, ancien garde des Sceaux et parrain de l'opér

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