Actualités sociales hebdomadaires : D'abord un petit retour en arrière. A quel titre avez-vous été désigné comme président du CNCPH en 2002 ? En tant que personne directement concernée par la question ? Ou est-ce votre étiquette politique qui a prévalu ?
Jean-Marie Schléret : La tradition, mais non la règle, voulait qu'un parlementaire assure cette mission. Pour l'anecdote, François Hollande et Roselyne Bachelot figurent parmi mes prédécesseurs... Il y avait, semble-t-il, pas mal de candidats. J'étais ancien député, mais je pense que c'est avant tout mon expérience de professionnel du social et de parent d'un enfant handicapé (1) qui a intéressé Marie-Thérèse Boisseau, alors secrétaire d'Etat aux personnes handicapées, et son directeur de cabinet, Raymond Chabrol. J'avais eu l'occasion de les rencontrer, chacun de leur côté, dans l'exercice
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