Du côté des pouvoirs publics, les incitations à la coopération ne manquent pas. La prise en charge des personnes présentant des troubles psychiques doit « plus reposer sur l'action conjointe et coordonnée que sur la coexistence ou le caractère strictement alternatif des dispositifs », stipule à nouveau la circulaire du 30 mars 2006 relative à la mise en oeuvre du plan « psychiatrie et santé mentale » (1). Mais, d'évidence, l'intelligence collective ne se décrète pas et la culture du saucissonnage continue à faire obstacle au développement de projets de vie et de soins qui se conjuguent aux besoins des usagers.
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