Après l'affaire de l'Institut régional du travail social (IRTS) -IFRAD Parmentier (1) et la réorganisation opérée à l'Institut de travail social Pierre-Bourdieu de Pau (2), « le bilan des difficultés rencontrées par les écoles s'alourdit », constate la coordination du personnel de l'IRTS Parmentier, laquelle fait part de son irritation face au soutien apporté à l'association gestionnaire de cet établissement par le Groupement national des instituts régionaux du travail social.
Dans ce contexte « de crise dans les orientations fondamentales du travail social et de la formation », certains membres de la coordination ont initié la création d'une association baptisée « Pour le travail social » (3), dont l'objet est la défense des formations et du travail social, avec un axe privilégié sur l'éthique. Elle appelait d'ailleurs à une réunion inter-écoles sur le sujet le 2 mars à l'IRTS-IFRAD.
L'une des préoccupations majeures des acteurs de la formation concerne les modalités concrètes de la répartition des compétences entre l'Etat et les régions. En cela, l'évolution du « cas » de l'IRTS Parmentier les inquiète. Le personnel déplore en effet
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