Entre « ignorance » et « urgence ». Remis il y a quelques semaines à Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des Solidarités, par sa présidente Anne Tursz, directrice de recherche à l'Inserm, le rapport de synthèse des travaux du comité d'orientation « violence et santé » dresse un double constat (1). Premièrement, la France manque cruellement de connaissances fiables, transversales et exhaustives sur les relations entre violence et santé. Deuxièmement : l'ampleur du problème et la gravité de ses conséquences en termes de santé publique incitent à mettre en œuvre le plus rapidement possible un plan d'action. Cette étude, qui s'inscrit dans le droit
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