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« Le vrai sujet : l'efficacité de la réponse »

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La diversification des réponses, y compris dans le cadre carcéral, caractérise l'évolution de la justice des mineurs, estime Michel Duvette, directeur de la protection judiciaire de la jeunesse. A l'occasion des 60 ans de l'ordonnance de 1945, célébrés par l'administration les 12 et 13 septembre dernier, il dément une dérive vers le « tout enfermement ».
Que répondez-vous aux craintes de dévoiement de l'ordonnance de 1945 (1)  ?

On voit la quantité d'infractions de mineurs rapportées à la justice augmenter et en même temps le rôle des parquets évoluer dans le cadre des décisions d'alternatives aux poursuites. Le nombre de mineurs présentés aux juges des enfants - 81 000 en 2004 - a en fin de compte peu progressé ces dernières années. La réflexion doit porter aujourd'hui sur l'organisation des juridictions, les relations entre magistrats, mais aussi le travail entre les juridictions et les services de la protection judiciaire de la jeunesse - publics et associatifs -, la cohérence et le suivi du parcours du jeune. Se pose ensuite la question des jeunes inscrits dans la réitération des actes, pour lesquels il faut d�

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