En 2004, Dominique Versini, alors secrétaire d'Etat à la lutte contre la précarité et l'exclusion, avait décidé d'élargir la composition du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE) notamment aux organisations syndicales et aux organismes de protection sociale, afin qu'il puisse mener au mieux son travail d'évaluation de la loi contre les exclusions du 29 juillet 1998 (1). Un décret procède officiellement à ce changement.
Sont désormais associés au CNLE huit représentants des organisations syndicales de salariés et d'employeurs (2) nommés par le Premier ministre pour trois ans, les directeurs généraux de la caisse nationale de l'assurance maladie, de la caisse nationale des allocations familiales, de la caisse centrale de mutualité sociale agricole, de l'Agence nationale pour l'emploi ainsi que le délégué général de l'Union sociale pour l'habitat. D'autres personnalités, telles que le président du Conseil économique et social et celui du Conseil national de l'habitat, font également partie du conseil.
A noter que l'Union nationale des associations familiales et l'Association des maires des grandes villes de
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