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La mise en œuvre des actions d'accompagnement en faveur des bénéficiaires de contrats aidés

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C'est l'un des points sur lequel le ministre de l'Emploi, Jean-Louis Borloo, insiste le plus lorsqu'il s'agit pour lui de « vendre » son plan de cohésion sociale. Les contrats aidés rénovés ou créés par la loi du même nom sont novateurs en ce qu'ils permettent à leurs titulaires de bénéficier d'actions d'accompagnement, de formation et de validation des acquis. Obligatoires pour les salariés en contrat d'avenir (1), celles-ci sont simplement recommandées pour ceux en contrat d'accompagnement dans l'emploi (CAE) (2), en contrat initiative-emploi (CIE) (3) ou en contrat insertion-revenu minimum d'activité (CI-RMA) (4). La délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) revient sur la mise en œuvre de ces actions. Laquelle incombe « au premier chef » aux employeurs et est « une contrepartie essentielle de l'effort financier que consentent les pouvoirs publics ».

Les actions prises en charge par l'employeur

Les salariés en contrat aidé ont accès aux dispositifs de formation et d'accompagnement de droit commun, commence par rappeler la DGEFP. Toutefois, précise-t-elle, les conditions d'accès à ces droits et de leur financement

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